« « C’est mon frère« , assure Arnaud. C’est vrai qu’ils se rendent des services : Nicolas dénoue le dossier « héritage » d’Arnaud, qui renvoie le patron de la rédaction de « Paris Match » qui énerve Nicolas. Mais le gros morceau est à venir : Arnaud Lagardère veut vendre sa participation de 7, 5 % dans EADS. A l’Elysée de donner le feu vert.» (1)
« J’ai le choix de passer pour quelqu’un de malhonnête ou d’incompétent qui ne sait pas ce qui se passe dans ses usines. J’assume cette deuxième version. » (2) (more…)