
AMOUR
« Je n’accepte pas qu’on veuille habiter en France sans respecter et sans aimer la France ».
BANLIEUE
« Il faut nettoyer certaines cités. Et quand je dis qu’il faut les nettoyer au Karcher, cela veut dire qu’il faut les nettoyer en profondeur ».
CHANGEMENT
« J’ai changé parce que le pouvoir m’a changé ».
CNE
« Le CNE est un progrès, il ne faut pas y toucher ». Rencontre organisée par des patrons de PME le 24 janvier 2007.
CONCURRENCE
« C’est la vie, la concurrence. Je vais même vous dire mieux, moi, j’ai la concurrence dans les veines ».
CULTURE
« Avec les acteurs, on se comprend. On n’a pas le même métier, mais on a le même public ».
CUMUL
« Cela fait quatre ans que je suis ministre et candidat, qu’est-ce que cela changerait si je l’étais un mois de plus ? »
DÉPENSES PUBLIQUES
« Nous ne pouvons rester le pays d’Europe où la part des dépenses publiques dans la richesse nationale est la plus importante. Il faut donc dépenser mieux et moins ».
« Dans un pays comme le nôtre, où les dépenses des pouvoirs publics représentent 54% de la richesse nationale, l’échec économique et social est garanti si les dépenses sont mal orientées ».
« La France qui se lève tôt le matin, la France qui travaille, la France qui paie ses impôts, elle est aussi attachée à voir que l’argent public soit utilisé avec l’efficacité maximale ».
DROITS DE L’HOMME
« Ma France c’est une nation ouverte, accueillante, c’est la patrie des droits de l’homme ».
FRONT NATIONAL
« Je ne vise pas l’électorat du FN, je l’ai déjà ». Lors d’un trajet à Aurillac, devant des journalistes.
« Je crois que la France traverse une crise d’identité, et je ne veux pas laisser le monopole de la nation à l’extrême droite ».
« Ma France c’est celle des Français qui votent pour les extrêmes non parce qu’ils croient à leurs idées mais parce qu’ils désespèrent de se faire entendre, je veux leur tendre la main ».
« Ma France, ce n’est pas celle de Mr Le Pen, parce que ma France ce n’est pas une race, ce n’est pas une ethnie, ce n’est pas l’exclusion ce n’est pas la détestation de l’autre ».
GÉNOCIDE
« La France doit être fière d’elle-même parce que contrairement à d’autres pays européens, les Français n’ont pas de génocide sur la conscience ».
IDENTITÉ NATIONALE
« Nous sommes le seul pays où une petite intelligentsia considère qu’on n’a pas le droit de parler d’identité nationale. Je suis candidat à la présidence de la République, c’est tout de même normal que je parle de la France et de son identité ! »
JUPPÉ
« Alain Juppé est un homme dont personne ne peut douter de la probité personnelle et de l’honnêteté ».
LIBERTÉ
« Le moment approche, enfin on va pouvoir dire les choses en toute liberté ».
MÉDIAS
« Il faut regrouper la direction des médias, le ministère de la culture et l’Education Nationale sous l’égide d’un seul ministère ». Convention UMP pour un projet populaire, 26 janvier 2006.
« Ce qui est assez curieux c’est que quand il s’agit de journaux qui disent du mal de moi, ça, ça ne gêne pas que ce soit un capitaliste entre guillemets qui en soit propriétaire. Alors quand c’est des journaux plus objectif, là ça devrait devenir gênant ». L’Invité d’Inter (18/04/07)
MÉDIOCRITÉ
« Je veux proposer aux jeunes Français une grande ambition, parce que les petites sont médiocres ».
MODESTE
« On sait parfaitement bien que c’est pas 29 ministres autour d’un premier ministre, que c’est pas un nouveau Président de la République qui changera tout […] Rien ne ressemblera plus à la France d’après l’élection présidentielle que la France d’avant. Et j’aimerais que nous apprenions à avoir la politique modeste ».
« Etre candidat pour le prestige de la fonction ne m’intéresse pas ».
MONARCHIE
« Il faut en finir avec les pratiques monarchiques dans la Vème République ».
OSER
« Je préfère risquer en osant, que regretter de ne pas avoir su saisir l’occasion qui se présentait ».
PÉDOPHILIE
« On naît pédophile, et c’est d’ailleurs un problème que nous ne sachions soigner cette pathologie ». Philosophie Magazine, Mars 2007.
PERSÉCUTÉ
« Est-ce que vous m’entendez critiquer les autres ? Je suis attaqué matin, midi et soir, et avec quelle violence. Entre monsieur Le Pen qui me conteste le droit d’être candidat parce que je suis immigré, entre monsieur Bayrou qui me conteste pour un tas de raisons les plus absurdes, et madame Royal qui est passé de ignoble (pour qualifier mes propositions), à brutal pour qualifier ma personnalité. Moi j’essaye d’expliquer mon projet ! » L’Invité d’Inter (18/04/07)
POLICE
« La police ce n’est pas du social. Vous êtes là pour arrêter les voyous, pas pour organiser des matchs de foot ». Toulouse, le 4 Février 2003 (le responsable de cette opération a été « muté »).
PRÉSSÉ
A la question « Votre principal défaut ? », il a répondu « Je suis pressé ».
PUDEUR
« Alors ne le répétez pas trop fort, mais j’ai un cœur. Il bat à gauche. Il bat aussi vite que les autres. Mais parfois, peut-être à tort, je pense qu’il faut avoir de la pudeur ». [Emission A Vous de Juger]
RELIGION CATHOLIQUE
« Lorsqu’il y a un prêtre ou un pasteur pour s’occuper des jeunes dans un village, il y a moins de laisser-aller, de désespérance, et finalement de délinquance ». 20 Juin 2005, lors d’une réunion inter-religieuse au Théâtre de Neuilly, organisée par l’association Bible à Neuilly, sur le thème : Dieu peut-il se passer de la République.
REPENTANCE
« Je déteste cette mode de la repentance qui exprime la détestation de la France et de son histoire ».
SALAIRES
« J’accepte tout à fait les grosses rémunérations, je considère normal que celui qui travaille plus que les autres gagne davantage. Que celui qui prenne plus de risque que les autres en ait la juste récompense. C’est normal. Mais je n’accepterai jamais que celui qui a conduit l’entreprise à la ruine […] parte avec un chèque de plusieurs millions d’Euros dans la poche ».
SANTÉ
« Je crois utile qu’un système de franchise soit mis en place comme pour tout processus d’assurance. Ainsi, les premiers 76, 22 € de dépenses de santé annuelle des assurés sociaux ne seraient pas remboursés, afin de responsabiliser ceux-ci ». Libre, Nicolas Sarkozy (2001).
SÉGOLÈNE ROYAL
« Ne réduisez pas Ségolène Royal à son statut de femme, elle mérite mieux que ça ».
SUICIDE
« (les jeunes qui se sont suicidés), génétiquement, ils avaient une fragilité, une douleur préalable ». Philosophie Magazine, Mars 2007.
TRAVAIL
« Les socialistes proposent de travailler moins. Moi, je propose de gagner plus ».
TURQUIE
« La Turquie n’a pas sa place en Europe parce que c’est en Asie Mineure, et si l’Asie Mineure c’était l’Europe ça ce saurait ! »
UNITÉ
« La France n’est forte que lorsqu’elle est unie ». 16 Mai 2007.
VIDÉOSURVEILLANCE
« Je ne vois pas en quoi, et qui peut penser, que mettre des vidéos à certains endroits, ça soit un élément d’une société dictatoriale ».
VOYOUS
« Je ne ferais aucun amalgame entre les jeunes et les voyous ».
« Je veux parler à la France qui ne brûle pas les voitures, et ne bloque pas les trains parce que cette France-là a le droit d’être entendue, respectée, et considérée ».
« Moi je ne serai jamais du côté des fraudeurs, parce que la fraude c’est l’impôt payé par les plus pauvres ».